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/http%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Ftwentyeleven%2Fimages%2Fpine-cone.jpg "Patrimoine historique architectural et paysager de La Haute-Auvergne, petite bibliographie, archives")
Jou-sous-Monjou dans la vallée du Goul en Carladès (2)
Publié le 15 Octobre 2008
Avant d'entrer dans le bourg, faisons une halte au hameau de Lasdoulours que, venant de Vic-sur-Cère, nous traversons.
Le manoir de Lasdoulours, à Jou-sous-Monjou (Cantal)
De ce hameau, il ne reste que le manoir composé de deux tours carrés et d'un petit corps de logis. Il est en contre-bas de la route actuelle mais domine la vallée du Goul.
Le manoir de Lasdoulours, à Jou-sous-Monjou (Cantal)
De Jou-sous-Monjou et de ces habitants, le "Dictionnaire statistique du Cantal " site rapidement quelques noms : une antique famille de Jou, celle de Montjou, Annet de Fontanges, seigneur du Lasdoulours en 1545. Bertrand de Boisset au 17è siècle, et enfin la famille de Sistrières.
En revanche, il reste muet sur les importantes familles de notables -quelques noms -et de notaires ayant habité la paroisse de Jou.
Du 16è au 18è siècles, la famille notariale Coffinhal
Au 17è au 18è siècles,la familles notariale Clavières, mais aussi la famille Laborie, la famille notariale de Comblat - généalogie - qui habitait le hameau de Peyre et plus tard les notaires Arnal...
Pour Lasdoulours, sans remonter très loin dans le temps, mentionnons un de ses habitants, François Conducher, bourgeois, qui prit à ferme, en 1743, pour le compte du Prince de Monaco, alors détenteur de la seigneurie, les châtellenies de Vic et de Muret à raison de 1200 livres par an payables en deux termes.
En revanche, il reste muet sur les importantes familles de notables -quelques noms -et de notaires ayant habité la paroisse de Jou.
Du 16è au 18è siècles, la famille notariale Coffinhal
Au 17è au 18è siècles,la familles notariale Clavières, mais aussi la famille Laborie, la famille notariale de Comblat - généalogie - qui habitait le hameau de Peyre et plus tard les notaires Arnal...
Pour Lasdoulours, sans remonter très loin dans le temps, mentionnons un de ses habitants, François Conducher, bourgeois, qui prit à ferme, en 1743, pour le compte du Prince de Monaco, alors détenteur de la seigneurie, les châtellenies de Vic et de Muret à raison de 1200 livres par an payables en deux termes.